Volkswagen dévoile les scènes (inédites) de son spot "The Force" coupées au montage

Avec près de 22 millions de vues sur Youtube au moment où je vous écris, la pub Volkswagen "The Force" qui fait référence à Star Wars pour mettre en avant sa nouvelle Passat (diffusée pendant le Super Bowl) est incontestablement le carton de ce début d'année. Forte de cet immense succès populaire, la marque vient de dévoiler une nouvelle vidéo montrant quelques-unes des scènes qui ont été coupées au montage. Je vous laisse apprécier, c'est tout aussi bon que le spot en lui-même... (avec en bonus la pub pour la nouvelle nouvelle Beetle et son making of !)
Le spot "The Force" :



Les scènes (inédites) coupées au montage :



Et en bonus, voici l'autre succès de Volkswagen lors du Super Bowl :
la pub annonçant la "nouvelle New Beetle" (près de 6 million de vues quand même)...



...avec le making-of tant qu'on y est :

3 posts:

Unknown

HALTE Á L'ABRUTISSEMENT GENERALISÉ INDUIT PAR LA PUBLICITÉ !

Publicité = lobotomisation des masses !

La publicité est le signe de dégénérescence de cette société matérialiste qui confond art avec manipulation des moutons consuméristes !

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CE SIÈCLE DE MINABLES

J'observe depuis un certain nombre d'années un phénomène qui ne cesse de s'amplifier dans la publicité télévisée, laquelle est le reflet le plus direct de la société, l'écho cru et éloquent de la France moyenne, le révélateur fidèle et durable des aspirations du tout-venant : les "héros" masculins en quête de bonheur fromager, bancaire, cosmétique ou automobile sont tous des incarnations stéréotypées du pauvre type, du citoyen minable, du mâle médiocre.

Le consommateur de base est censé s'identifier farouchement à ces représentants de la gent masculine sur la voie de la déchéance. Et ça marche ! Le minus fondamental se sent rassuré en voyant à travers des spots publicitaires d'autres minus primaires de son espèce. Les publicistes l'ont bien compris : il ne faut pas heurter l'acheteur, il faut le caresser dans le sens de sa bedaine, le conforter dans sa petitesse afin qu'il se sente à l'aise avec ses pairs, et même, comble de la perversité consumériste, qu'il soit fier de son insignifiance !

Ainsi les films publicitaires télévisés sont peuplés de petits Sancho en quête de chaussettes, de piètres Dupont béats d'admiration devant leur cuvette de WC, de frileux épargnants avec des charentaises dans le coeur, d'imbéciles pères de famille hilares face à leur écran plasma...

L'offense faite à homme, l'indignité avec laquelle il est représenté dans ces publicités sont tellement quotidiennes et si bien entrées dans les moeurs que nul ne s'en offusque. L'homme à travers la publicité est devenu un âne, pitoyable client-pantin des grandes enseignes, un crétin heureux de son sort, un abruti total, un parfait vermisseau sans pensée, sans gloire, sans destin, sans plus rien de ce qui fait sa grandeur de bipède éclairé. Depuis ce miroir contemporain que constitue la publicité, l'homme n'est plus qu'une pauvre chandelle morte. Pire : l'indolent réceptacle de la vulgarité du siècle.

Bref, la publicité -qui tire tout vers le bas- pour fonctionner aujourd'hui et tourner à plein régime a de plus en plus recours au procédé miracle consistant à mettre en scène les figures variées et navrantes de l'universel pauvre type.

Ce qui est éminemment dans l'air du temps.

Raphaël Zacharie de IZARRA

Cruautés de la Saint-Valentin

PUBLICITÉ : DANGER !

La publicité, devenue culture à part entière avec ses codes, ses séductions, son langage, son histoire, mais aussi avec sa vulgarité, ses outrances, sa légitimité chez les esprits faibles qui l'érigent au rang d'art est un des plus puissants poisons de l'esprit.

Outil de propagande à but mercantile induisant une pollution visuelle et sonore, véritable aberration culturelle, furoncle parasitant la pensée contemporaine, la publicité est la forme de communication la plus crétinisante au monde. Avec ses raccourcis idiots, ses inventions clinquantes, ses artifices de foire -sans oublier ses apôtres déifiés par les concierges du monde entier- elle rend les populations imbéciles, ignares, paresseuses.

Inst rument de dégénérescence intellectuelle des individus les plus vulnérables et d'une manière générale des classes sociales défavorisées, voire des peuples les moins éduqués, la publicité sous ses dehors brillants en réalité fait régresser l'esprit. Des célébrités du cinéma se sont prostituées pour aider des grandes marques à liquider leurs stocks de lessive, même le peintre Dali a brait comme un âne devant des caméras dans le seul but de contribuer à écouler la camelote d'un fabriquant de chocolat industriel. Tous se sont parés de flatteurs nez rouges, arguant des plus nobles prétextes pour se vautrer dans l'arène des pitres, attirés par les projecteurs criards de Mercure.

La publicité tue la beauté. Pire : elle donne ses lettres de noblesse à la laideur.

Ce produit toxique de l'esprit est tellement répandu -et surtout tellement admis en tant qu'hôte de nos pensées indissociable de la vie moderne- qu'il passe inaperçu, suintant des murs publics, émanant des écrans de télévisions et de cinémas, ralentissant nos ordinateurs connectés, se mêlant aux inepties débitées par les radios, poissant journaux et magazines...

Main tenant que le ver est dans le fruit, le quidam accepte de mêler le Coca-Cola à l'hydromel.

Homè re a été remplacé par des saucisses : la misère de l'esprit est devenue une culture.

Raphaël Zacharie de IZARRA

flechoux

Sinon quand il y en a marre ya Malabar mec

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